MEG ou un mort à l'Elysée

Michel de Decker et sa pièce　:　"  Meg ou un mort à l’Elysée　"

Dans la foulée d’Alain Decaux et d’André Castelot avec lequel il a travaillé pendant trente-cinq ans Michel de Decker compte parmi les historiens qui considèrent que, comme son nom l’indique, l’histoire, ça se raconte　! Auteur d’une vingtaine de biographies "　grand public　" (éditions Perrin, Belfond, Flammarion…), couronné par l’Académie Française, lauréat du Prix du Cercle Interallié, il est aussi producteur et animateur d’émissions sur France Bleu (Les Polars de l’Histoire), il intervient régulièrement sur France 2 dans les émissions "　Secrets d’Histoire　" avec Stéphan Bern et sillonne la France en qualité de conteur-conférencier. Scénariste de téléfilms, il a participé à de nombreuses "　Tribunes de l’Histoire　" (France-Inter), réalisé quelques spectacles "　son et lumière　" et écrits quelques pièces de théâtre dont "　Meg ou un mort à l’Elysée　".

Cette histoire – vraie – d’une maîtresse d’un président de la République qui se trouve accusée du meurtre de sa mère et de celui de son mari (le peintre Adolphe Steinheil de l’Haÿ-les-Roses) a défrayé la chronique de la fin des années 10 du XXème siècle et elle n’a jamais été réellement résolue.

Marguerite Steinheil est-elle coupable　? La vérité éclate dans cette pièce menée tambour battant.　
Trois personnages pittoresques, une petite vertu, un avocat et un gardien de prison vont en effet amener la présumée coupable à passer aux aveux.
Des situations cocasses, des dialogues pétillants, des réparties plus drôles les unes que les autres, trois cadavres, mais pas un temps mort　!
Michel de Decker, qui a amassé une documentation considérable pour résoudre cette énigme, a fait le choix de la traiter sur le mode boulevardier-vaudevillesque qui convient si bien au sujet et à la Belle Epoque dans laquelle baigne l’intrigue.